LA FORMATION EN ALTERNANCE EN ENTREPRISE, UNE EXCELLENTE OPPORTUNITE POUR RECRUTER DE JEUNES TALENTS

Beaucoup de jeunes se tournent vers la formation en alternance, pressés d’entrer dans la vie active. C’est souvent une excellente façon d’appréhender son futur métier en bénéficiant à la fois d’un enseignement théorique à l’école et d’une expérience sur le terrain qui permettra ensuite de postuler pour un emploi avec de bonnes bases. Ce qui est rassurant pour un futur employeur qui considère que c’est une vraie 1ère expérience professionnelle. À travers 2 exemples, puisés chez EMOVA Group, nous allons vous démontrer tout l’intérêt de former nos ressources vives et créatives de demain.

QU’EST-CE QUE L’ALTERNANCE ?

Les jeunes, âgés de 16 à 25 ans, ont globalement le choix entre 2 types de contrats, l’apprentissage ou la professionnalisation. Pour l’un et l’autre de ces types de contrats il y a des dérogations et autres détails dans lesquels nous ne rentrerons pas ici.

Ces deux types de contrat permettent d’obtenir une qualification sanctionnée par un diplôme ou un titre à finalité professionnelle, enregistré au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Mais, subtilité, le contrat d’apprentissage est diplômant tandis que le second est qualifiant ! Cherchez la nuance … En revanche, ces formules sont intéressantes pour les 2 parties, l’étudiant comme l’employeur. L’apprenti perçoit une rémunération calculée selon son âge et son niveau d’études. Pour l’employeur, c’est certes une ressource humaine supplémentaire à moindre coût diront certains esprits chagrins, mais il ne faut pas oublier que c’est, pour le tuteur qui s’investit, beaucoup de temps à passer pour le former. Au final, c’est une solution gagnant/gagnant pour les 2 parties. Tout comme dans la relation franchiseur/franchisé.

 LE CONTRAT D’APPRENTISSAGE, L’EXEMPLE D’ANYSSA

Son bac littéraire en poche, voici 3 ans, Anyssa s’inscrit à la faculté d’Histoire de l’Art à Paris mais finalement, elle se rend compte que des études longues ne sont pas faites pour elle. Alors, à la fin de sa 1ère année de fac, elle décide de faire, comme elle aime à le dire : « une pause d’études ». Cette pause ne signifie pas pour autant rester inactive et rapidement elle trouve un emploi dans une enseigne de restauration. Ce qui lui permet de réfléchir à son avenir. Anyssa souhaite reprendre des études mais elle veut du concret, c’est pourquoi l’apprentissage lui paraît une voie intéressante. Avec la bénédiction de sa patronne de l’époque, elle postule dans différentes écoles et multiplie les entretiens dans deux domaines très différents, l’immobilier et la fleur. C’est finalement la fleur qui l’emportera pour le côté créatif dont Anyssa raffole. Elle a déjà son idée sur l’école qu’elle veut intégrer : l’École des Fleuriste à Paris. Encore faut-il trouver l’entreprise qui pourra l’accueillir. Comme elle travaillait dans le 8ème arrondissement, elle connaissait le magasin Monceau Fleurs historique de l’enseigne, situé à l’angle des boulevards Malesherbes et de Courcelles. C’est ainsi qu’en août 2013 elle n’a pas hésité à proposer son CV. Une chance ! En raison des vacances, il y avait besoin de renforcer l’équipe et un CDD de 2 semaines lui est proposé. Pour Anyssa, c’était la meilleure façon de vérifier qu’elle avait vraiment envie de s’orienter vers ce métier. Ce qui était le cas. Et c’est ainsi qu’elle a pu dès la rentrée de septembre intégrer à la fois son école de fleuriste et l’équipe du magasin. À la fin de son année elle décroche son CAP et voulant aller plus loin, elle resigne pour 2 années supplémentaires afin d’obtenir son Brevet Professionnel qu’elle vient d’obtenir brillamment !

Concrètement, pour Anyssa, son emploi du temps était orchestré entre 1 semaine à l’école et 2 semaines dans le magasin Monceau Fleurs de Malesherbes et 6 semaines d’affilée au moment des fêtes. « Mon apprentissage s’est vraiment bien passé, j’ai eu la chance d’avoir Monique, formidable Maître d’Apprentissage. Très vite, on m’a fait confiance, on m’a donné des responsabilités. Au bout d’un an j’aurai pu changer, mais j’ai fait le choix de rester dans ce magasin car je me sentais bien même s’il y avait beaucoup de travail car j’apprenais tout le temps ». Assurément, Anyssa à un bel avenir devant elle avec des bases solides pour exercer ce métier exigeant qu’est la fleuristerie.

LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION, L’EXEMPLE DE SOPHIE

En septembre 2012, lorsque Sophie décroche un CDD de 2 mois pour remplacer l’Hôtesse d’Accueil d’EMOVA Group, elle a déjà, du haut de ses 23 ans, un beau parcours. Titulaire d’un BTS Management des Universités Commerciales et d’un DESS Management et Gestion, elle passera 5 mois aux États-Unis avant de revenir en France pour entreprendre un Master en Management et Stratégies d’Entreprises, en faisant le choix de conjuguer études et vie en entreprise « afin de côtoyer le terrain », affirme-t-elle.

Dans le cadre de son CDD chez EMOVA Group, au poste d’accueil, elle est en contact avec tous les services et notamment celui de la communication, sous la direction de Virginie. Au fil des échanges, Sophie expose son projet de Master dans le cadre d’un contrat de professionnalisation. C’est ainsi que l’opportunité lui sera proposée d’intégrer ce service en tant qu’Assistante. Elle obtient avec succès son M1 et poursuit, toujours en alternance, un M2 qu’elle obtient l’année suivante.

Ces 2 années ont permis à Sophie de totalement s’intégrer avec des missions de plus en plus importantes, dont la gestion de la communication locale de tous les franchisés du Groupe, qu’ils soient sous l’enseigne Monceau Fleurs, Rapid’Flore et Happy. En 2014, il est proposé à Sophie, qui désormais maîtrise tous les rouages de son poste, comme ceux de l’entreprise et des attentes des franchisés, d’intégrer définitivement le service en tant que Chargée de Communication pour toute la communication locale. « Ce qui était passionnant car notre service fonctionne comme une agence aux services des franchisés et nous devons respecter les valeurs de chaque enseigne. Être au contact des franchisés est également très riche au niveau des échanges ». En 2016, une nouvelle opportunité a été offerte à Sophie, devenir responsable des opérations nationales. Poste qu’elle a accepté avec joie. « Ce sont deux types de communication très différents. En communication nationale, tout est décuplé notamment au niveau des budgets ».

À travers ces 2 parcours, nous avons voulu montrer à quel point il est important d’accueillir des jeunes et leur donner l’opportunité de connaître rapidement et efficacement la vie de l’entreprise et dans bien des cas pouvoir l’intégrer durablement. En tout cas, c’est le point de vue d’EMOVA Group.

Si vous souhaitez en savoir plus sur le monde de la franchise, n’hésitez pas à consulter notre Livre Blanc sur la franchise, ainsi qu’à nous contacter directement.

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